Discussions informelles pour ramener le calme au Burundi
6 mai 2015Publicité
Au Burundi, la Cour constitutionnelle a validé hier la candidature du président Pierre Nkurunziza à la présidentielle du 26 juin prochain. Les sages de cette cour ont donc estimé qu’un troisième mandat de cinq ans au suffrage universel direct n'est pas contraire à la constitution. Cette décision est rejetée par l’opposition et la société civile. De nombreux analystes prédisent déjà un boycott du scrutin présidentiel s'il devait avoir lieu à la date prévue. Ecoutez ci-dessus les explications d'Eric Topona.