Interview Inès Michalowski
28 octobre 2011Publicité
Lorsque les travailleurs turcs sont arrivés il y a 50 ans, ils ont pour la plupart d'entre eux signé un contrat de travail pour quelques années seulement, voire moins. Le gouvernement allemand ne ressent alors pas le besoin de se pencher sur d'éventuels problèmes concernant la langue ou la religion, puisqu'il partait du principe que les Gastarbeiter allaient repartir le plus vite possible. Question posée à Inès Michalowski, chercheuse au Centre de recherches en sciences sociales de Berlin: n'y avait-il pas un malentendu dès le départ entre les entreprises allemandes et les "travailleurs invités".
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Auteur : Carine Debrabandère
Edition : Kossivi Tiassou