L'Égypte au lendemain de la présidentielle
18 juin 2012Publicité
Le climat demeure d'autant plus fragile que le Conseil suprême militaire a dissous l'Assemblée nationale la semaine dernière. Pour Mohamed Salah Kheriji, membre du conseil d'administration de l'Institut arabe des droits de l'Homme, cette situation donne un gout d'inachevé à la révolution qui a entraîné la chute de Hosni Moubarak le 11 février 2011. Fabrice Balanche, directeur du Groupe de recherche sur la Méditerranée et le Moyen-Orient (Gremmo), n'est pas non plus optimiste sur l'avenir du pays.
Écoutez leurs interviews ci-dessous au micro de Ramata Soré.